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la suite « du coup de la panne »Je vais tuer le suspens immédiatement pour les lecteurs de l’autre histoire. Non je n’ai jamais retrouvé Agnès. Mais… ma bouteille à la mer a été ramassée et lue..Une jolie internaute nommée Léa est tombée sous le charme de l’histoire. Elle a voulu, comme on dit dans les séries policières américaines, être une « copycat ». C’est à dire prendre, avec ma complicité, la place d’Agnès des années plus tard. Elle différait beaucoup de la première, elle était beaucoup moins pudique et coincée.Par contre comme elle, elle était mariée, fidèle, très romantique et elle aussi, son mari la délaissait souvent pour ses passions. Nous pratiquions donc des séances de “tchat hot” régulièrement. J’avais repris mes anciennes habitudes. Mais très vite cela devenait répétitif, et un peu fade… voire ennuyeux. Nous voulions aller plus loin. Bien sur la rencontre en vrai fut évoquée, elle n’habitait pas trop loin. Mais sa conscience lui interdisait de tromper son mari. Elle avait peur des remords… Alors nous est venu l’idée d’imaginer nos rencontres. On a écrit à deux mains chacun apportant sa touche, un scénario limite et déjanté d’ « adultère light ». Car elle ne voulait pas de rapports hors mariage juste des jeux coquins. Donc c’était le sujets des récits faire du « sans contact » On ne l’a pas réalisé mais on a beaucoup fantasmé dessus. Et qui sait peut-être un jour… C’est aussi amusant à écrire à deux d’ailleurs qu’à vivre je pense. Petite info le style est bourré de révérences en cinéma et en littératures, car Léa était une grande romantique passionnée de lecture. Elle nommait cela dans les histoires « ses cookies »… J’aimais l’expression en forme de clin d’œil au geek que j’étais. Pour ceux que ça fatiguent évidemment, c’est facile de les passés à la lecture, ça change pas le fond du récit. Premier Récit : Il est 14 h le ciel bahis şirketleri n’est plus complice, les nuages nous toisent.Le parking, désert un hôtel standard, entre pizzeria et Mc Do. Dans la tête la musique de Bagdad Café.Mais ce n’est ni le désert américain, ni la plage de Deauville, et je n’ai pas une Ford mustang, c’est juste … Fontainebleau.Comme prévu je pénètre dans la chambre tout est désert, silencieux à cette heure. On a préféré l’après-midi. Ainsi on n’a pas à mentir pour se libérer de nos contraintes familiales. Une nuit aurait amener un scénario complexe et un début de tromperie. On est au-dessus de cela. Enfin on a la prétention de le croire.Je m’empresse de tirer les rideaux, l’obscurité est parfaite juste assez pour laisser deviner une silhouette mais rien d’autre.Je m’allonge sur le lit tout habillé je suis fébrile. C’est mon premier tchat sans écran sans clavier, à moins d’un 1 m.Un bruit dans le couloir ma respiration se coupe. J’attends des secondes qui me paraissent une éternitésLes pas se sont arrêtés, non, ils repartent, je crois… Une femme de ménage ou un autre couple, j’entends des voix au loin.Vas-tu venir ? as-tu réfléchi ? Une amie a du te dissuader ! Comment peut-on aller retrouver un type que l’on a jamais vu, dans le noir, dans une chambre d’hôtel. Tu ne sais rien de lui.. T’es folle…Et si c’était un pervers… ou pire.Tu ne viendras plus. Pourquoi j’ai créé ce truc. C’est n’importe quoi. Un diner, un rendez-vous dans un bar.. Dans la foule. Voilà ça c’est normal.Je suis un malade.Un bruit. La porte s’ouvre un léger halo de lumière vite circonscrit. Je n’ai rien vu… Tu étais là, c’était bien toi, tu hésitais à l’ouvrir.Tu rentres. Cette fois je ne respire plus du tout. Mes oreilles sont des radarsmes yeux tentent de scanner cette silhouette.Tu rentres doucement. Ton parfum m’enivre, je ne l’oublierai bahis firmaları jamais pour moi il restera synonymede bonheur. Chaque fois que la vie me fera des siennes, je n’aurai qu’a le humer, et tout ira mieux.-Coucou t’es la ?le tchat commence-Oui je suis « connecté »-ca va-ca vaTu t’allonges sur le lit en prenant soin de ne pas me toucher, comme le veut le règlement stricte des tchats à 10 cm, inventé par nos esprits dérangés !- on est bien.Je ne sais pas quoi dire d’autre, à part cette ânerie. Puis suit un long silence, tu préfères ne rien dire plutôt que comme moi, te ridiculiser et salir l’instant par une banalité. Nos respirations se mettent en phases. On se hume. Finalement c’est vrai qu’on est bien.Allongé à cote à cote tout habillé là.Puis dans un soupir, je murmure et le tac-o-tac habituel des tchats démarre..-je t’embrasse.-ma bouche cherche la tienne- tes lèvres sont brulantes-nos langues se chevauchentLà on est vraiment ailleurs toutes nos phrases sont des actes virtuels précis que l’on voit se réaliser dans nos esprits. La pénombre favorise la concentration. Nos mains libérées des claviers habituels, caressent nos propres corps, et frôlent nos vêtements au rythme des injonctions du partenaire. C’est un vieux refrain de jazz que l’on connait par cœur la musique est bonne, je l’écoute en fermant les yeux. La batterie commence à être plus présente, le saxo s’enflamme.Le jeu est bien lancé, nous sommes passés au bas du corps. Tu as une main sur un sein l’autre enfouie plus bas. Je viens de sortir mon sexe qui a surgi tel un diable hors de sa boite.Je le caresse lentement. Je fixe ta main. Ta culotte vient d’être baissée. Je vois maintenant ta main faire son œuvre.Elle monte et descend au rythme de ton bassin qui ondule. Je ressers mon étreinte et ma fréquence augmente.Nous ne parlons plus, les ombres et les bruits nous suffisent. kaçak bahis siteleri J’entends ton souffle régulier, tu halètes un peu. On devine un petit murmure à peine audible :- oui, oui, hum, oui ,oui, hum.. Je te répond par de grande expiration. Je me lâche dans des vocalises. Tu en profites pour monter dans les aigus , à chaque respiration tu pousses maintenant un grand AHHH . Le son est maintenant tel que dans le couloir, personne ne pourrait admettre que l’on ne s’est pas encore touché. Je commence à ne plus me tenir, je me branle maintenant frénétiquement à ton rythme… –AHAHAH ouii ouiiiiiiii tu te bloques le rythme c’est arrêté tu jouis … Tu regardes dans la pénombre mon sexe qui se cabre, de longues giclées partent vers le ciel. Je ne bouge plus et profite de mon orgasme dans un grand hammmm.Puis plus rien. Les respirations se calment. Tu te rajustes, je me rhabille en tentant de faire disparaitre avec un mouchoir les marques de mon plaisir.On se regarde. On est debout face à face dans le noir. Je ne sais plus, tu ne sais pas… on est ou…La zone est critique le décimètre n’est plus de mise, le centimètre devient notre nouvelle limite. Je devine tes lèvres dans l’obscurité.Le temps s’arrête, qui a bougé.. Nos deux lèvres se sont touchées le temps d’un fugace baiser électrique.Un battement d’aile, un ange s’envole. J’ai peur.. je me retourne, je m’enfuis comme la règle l’avait défini. Après il aurait été trop tard.En rentrant sur la route, cet ultime instant me revient mille fois en boomerang dans la nuque. Je suis un con !! Je suis le dernier des imbéciles. Une femme sublime se donne à moi et je la fuis. Et l’ange reviens se poser, ton parfum sur moi… hummm Je passe ma langue sur mes lèvres, je goute enfin la saveur de ton baiser. Maintenant je veux continuer la route, te redécouvrir mille fois encore avec la même intensité. Je souris. Je suis bien.Déjà mille nouvelles idées de jeux me viennent. Je me penche, j’ai des taches partout sur mon pantalon…et ça se voit.Le virtuel et le réel se sont fiancés, et ils s’aiment et on va les regarder grandir.
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