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Etreintes et NirvanaBonjour à tous voici le chapitre final des aventures d’Elise et Solenia.Merci à tous les lecteurs qui me suivent depuis le début, ces premiers écrits de ma part.N’oubliez pas un petit commentaire fait toujours très plaisir si l’histoire vous a plu.Bonne lecture 😉 !- « Mesdames, il va être l’heure de fermer, mais en gentleman qui se respecte, je ne peux permettre de vous laisser partir ainsi. Après tout la ville est froide et dangereuse »- « Mais monsieur ? Avez-vous une quelconque raison de croire que je pourrais susciter quelques mauvaises intentions ? »- « En effet madame, il est interdit de se trouver dans l’espace public avant d’avoir rempli votre devoir conjugal envers l’homme que vous aimez »- « Mais monsieur, l’homme que j’aime est indisposé pour le moment ! En effet comme l’a remarqué votre libidineux collègue ; oui vous monsieur ! Mes attributs féminins ont cette tendance à rendre fou de désir, n’importe quel homme normalement constitué. C’est pourquoi mon amant est à l’heure actuelle épuisé dû à l’agréable séance de coït que nous avons partagé hier- « Et bien en ce cas madame… Je vous… Vous devriez… Et merde ! »- « Tu bois mon chéri ! »Alors que j’étais pliée en deux devant l’absurdité de la scène, Paul alla se resservir un shot qu’il vida cul-sec. Ce jeu était génial, c’était une forme de théâtre d’improvisation entre deux personnes, celui qui commence envoie une phrase érotique, ou du moins qui se colle à l’univers de l’érotisme. Et l’autre doit répondre dans la continuité afin de créer une conversation. Le premier qui bafouille, ou ne trouve pas ses mots perd et doit boire un shot.La difficulté étant que, plus on perd, plus on boit, plus il est difficile de trouver des phrases correctes sans bafouiller.Pour un soir de semaine, j’avais certainement forcé un peu la dose. Après tout j’avais cours demain. Mais au bout d’un moment je m’en moquais. Ce n’était pas de la fainéantise, mais du découragement. Jordan était un con, les profs étaient des cons, les cours étaient cons.Ce soir je m’amuse ! Demain je verrais.Paul venait de rejouer la scène presque telle qu’elle s’est déroulée au bar lors de la fermeture. Il pensait sans doute maîtriser plus facilement la situation, si la discussion se jouait sur son lieu de travail. Mais sa dame avait la répartie aussi forte qu’elle était belle.Solenia, Solenia… Dès que je pose mes yeux sur elle j’ai l’impression que son nom se répète en boucle dans ma tête. Sa force profonde, en plus de sa beauté certaine, et cette capacité incroyable de réussir à toujours paraître complètement à sa place dans le décor. Sans jamais y occuper une place secondaire. C’est ça. Elle crève l’écran, brûle les planches constamment.Je songeais avec un sourire à nos dernières rencontres. Au parc pour la soirée feu elle n’était pas seulement une jolie jongleuse. Elle était la personne que tout le monde regardait, la capitaine de la sphère enflammée qui partait dans les étoiles. A l’école quand elle vint, elle n’était non pas une jolie intervenante, qu’inconsciemment attirait les jeunes mâles en quête de fantasme.Non, ici elle était LA plus belle. Elle ne faisait pas preuve de fausse modestie, en cherchant à le cacher. Au contraire elle assumait ses atouts, les mettant subtilement en valeur, car avait confiance en ses capacités et son charme pour le reste.Cette femme était décidément incroyable.- « A toi ma chérie »Solenia avait gentiment laissé son homme se reposer un instant.- « Qui commence ? » Ais-je demandé- « Vas-y, je te laisse la main »Il me fallait une idée. Une manière de retourner le jeu à mon avantage… Ha je sais ! Elle était fichue.- « Salut Jordan ! »- « Salut ma belle »- « Alors comment vas-tu ? »- « Et bien je vais très bien et toi ? »- « Moyen… j’ai du mal à me remettre de cette soirée où tu m’a traitée d’allumeuse, qui prétendait s’offrir à tout le monde, sans rien faire derrière …»Paul qui commençait à comater dans le canapé, leva soudainement la tête me fixant avec des yeux ronds surpris.Solenia trahit une légère pointe d’indignation. Mais bonne joueuse elle se devait de rester dans son rôle.- « Je ne sais pas comment une telle chose a pu sortir de ma bouche. »- « Moi non plus, cependant cela m’a fait réfléchir sur mon comportement, après tout, peut être que j’agis vraiment ainsi en parlant si ouvertement de sexe, mais si c’est ainsi que les autres interprètent la chose, je pense que je vais simplement m’abstenir. Je ne veux pas être vue comme une salope.Et tac ! Je sais que même pour le jeu, elle ne pourra me laisser dire de telles choses, elle va donc devoir réussir à me défendre sur ce sujet où moi-même je n’ai pas de réponse.Comment vas tu t’en sortir ma belle ?Bizarrement son visage ne trahit aucune expression, elle a dû voir où je voulais l’emmener mais ne semble pas démunie pour autant.- « Elise te considère tu toi-même comme une salope ? »- « Non »- « Mais si tout le monde le dit, c’est certainement vrai : après tout il est clair que mon avis de jeune mâle indélicat qui ne te connais presque pas vaut bien plus que tout ce que tu peux penser de toi même.- « Non, ce n’est pas vrai je ne suis pas une salope. »Merde, je n’aimais pas du tout la tournure que prenait cette discussion.- « Alors qu’es-tu ? »- « Je… suis une femme libre, j’aime le sexe et je l’assume. »- « Mais quelle est la différence en ce cas ? »- « La différence, … c’est la façon de le percevoir. Oui, c’est ça, moi j’aime le sexe et je ne fais de mal à personne. Toi qui me désires, et qui m’insultes quand je te repousses. Car dans ton pitoyable petit esprit tu ne me figures que par rapport à toi. Quand tu vois une femme, très souvent la première question que tu penses, c’est ‘‘pourrais-je la baiser ?’’ Tu ne vois que ça et ne penses plus qu’à travers cette optique, comme un drogué en manque.Je parlais comme à Jordan maintenant, Solenia voulait me pousser jusqu’au bout que je vide complètement ce que j’avais sur le cœur.- « Ah ouais ? Et toi alors toi ? N’est tu jamais en manque peut-être ? »- « Bien sûr que je le suis ! Bien sûr que ça arrive. Mais à ta différence, je suis maîtresse de mes pulsions. Bien sûr que je réagis, parfois en voyant un beau jeune homme. Est-ce que je vais pour autant aller me frotter à lui ? Faire semblant de rire à toutes ses blagues ? Afficher mon intérêt comme si j’avais un panneau indicateur sur la tête disant « je suis chaude » ! Je suis dans la retenue, la subtilité. »- « Qu’est-ce que ça changes au final ? C’est moi qui m’assume le plus, car je ne fais pas semblant ! Je suis naturel ! Toi tu es hypocrite ! »- «Non ! Tu confonds subtilité et retenue avec le mensonge, le fait de se cacher ! Mais ça n’a rien à voir ! Au contraire ça change tout ! Car si j’aime le sexe c’est bien plus que pour la pénétration, c’est pour tous les sentiments qui vont avec. La douceur, la chaleur, les yeux du partenaire quand il exprime son plaisir… Et comment puis-je envoyer ce message, à ceux qui m’intéressent si je ne me comporte pas en rapport ? Toi c’est pareil ! Si tu veux plus qu’une baise fade et triste, agis en rapport ! Soit dans la retenue, un gentleman. Ne regardes pas les dames comme des occasions potentielles ou manquées, si une vraie occasion se présente, soit classe, distingué, donnes envie à cette dame de partager cet instant avec toi. »Je ne me pensais pas capable de résumer ainsi mes sentiments. J’avais l’impression d’avoir compris quelque chose, que je savais intérieurement.Solenia me regardait en souriant jusqu’aux oreilles à présent.Elle ouvrit la bouche, souriante et dit : « Euh je ne… » pour la refermer aussitôtElle avait compris que je savais déjà tout ça, et que je devais simplement moi-même formuler ma réponse. Et elle avait abandonné pour me faire plaisir. Elle déposa un petit baiser sur mes lèvres, et me pris dans ses bras.- « J’ai perdu le jeu, mais j’ai gagné une jeune fille intelligente. » me chuchota-t-elle à l’oreille toujours souriante.Pour ma part j’étais un peu secouée. Je ne pensais pas qu’elle me laisserait parler ainsi des hommes. Après tout le sien était juste à côté sur le canapé en train de nous regarder souriant. Comment pouvait-il rester aussi calme ?- « Mais la vie t’apprendra que les hommes ne sont pas tous ainsi. Les vrais gentlemans ne sont pas une légende. Cependant de nos jours, on trouve tout cela ringard, old school. Comme si la retenue supposait un manque de virilité. La recherche de l’excitation automatique, incontrôlée est préférée à la langueur de la séduction. Alors que pourtant la première est beaucoup plus efficace. Elle rend le désir plus fort et intense. »J’écoutais à moitié toujours dans ses bras. Ici mon désir commençait, sa main sur mon dos attrapa ma tête, elle recula légèrement, sa main toujours sur ma tête.- « Nous allons d’ailleurs te le prouver Paul et moi. Qu’en dis-tu ma belle ? »- « Oui… »La chaleur de sa voix susurrante güvenilir bahis à mon oreille, faisait accélérer les battements de mon cœur. J’avais chaud tout d’un coup. Mes yeux se ferment tandis que Solenia faisait doucement descendre ses bras dans mon dos… Sa tête se lovant doucement sur mon épaule, couvrant mon cou de quelques baisers… Je fus prise de frissons tandis que Paul s’était rapproché dans mon dos, ses mains posées sur mes cuisses, sa tête dans mes cheveux.Deux personnes, pour moi, cherchant à faire naître mon plaisir, par des caresses et douceurs… Mon dieu ça m’excitait déjà très vite…J’étais comme hypnotisée… Je sentais leurs deux corps contre le mien, complètement immobile… J’étais telle une innocente petite gazelle, encerclée par un couple de loups, qui s’apprêtaient à me déguster, mais repoussant toujours plus loin le moment où enfin ils s’attaquerait à moi …Solenia, à présent devant moi m’embrassait à pleine bouche avec délectation ses bras entourant ma tête, me serrant contre elle.Paul derrière, me dépassait d’une bonne tête, ses mains se baladant avec délectation autour de mes formes, puis sa tête dans mon cou me mordilla doucement l’oreille…- « Oooh… »Je lâchais un soupir et la bouche de Solenia… tandis que celle-ci rejoignait son compagnon en m’embrassant intensément dans le cou. Paul glissa une main sur mon pantalon au niveau de mon intimité en l’effleurant doucement sur le vêtement, sa bouche revint sur mon oreille tandis que sa seconde main, se posa sur mon cou en le serrant doucement, m’obligeant à lever légèrement la tête.Pendant ce temps Solenia passa une de ses mains sous mon tee-shirt pour faire rouler le téton de mon sein gauche tandis que son autre main, plus bas vers mes jambes me caressait entre les cuisses avec insistance…J’étais prisonnière de ce couple de prédateurs… Ils m’avaient complètement sous leur emprise.Ma louve releva alors mon tee-shirt et plaçant sa bouche sur ma poitrine commença à en suçoter le téton comme pour me goûter. Paul quant à lui fit pénétrer sa main dans mon pantalon, massant toujours mon intimité, à travers le tissu de ma petite culotte déjà relativement humide.- « Ooooh… » Un soupir plus puissant que le précédent sortit de ma bouche…A présent mes mains entouraient leurs têtes respectives les incitant ainsi à resserrer leur emprise sur moi…J’étais déjà partie dans un autre monde… Ces sensations étaient si intenses, je les voulais… Je voulais qu’ils me prennent, se pourlèchent de mon corps…- « Prenez-moi… » parvins-je à peine à prononcer dans toute cette extase…Solenia, doubla son intensité sur ma poitrine, et déboutonna ma ceinture, faisant tomber mon pantalon, dernière barrière de ma pudeur, et entrepris d’att****r mes fesses, et de les presser avec gourmandise.Son homme quant à lui m’attrapa mon second sein, et d’une main experte le malaxa enfermant mon téton entre son index et son majeur. Sa deuxième main, pénétra ma culotte, son index légèrement recourbé me stimulant le clitoris, tandis que son majeur et son annulaire pénétraient doucement dans la fente de mon intimité à présent trempée…Enserrée, emprisonnée, je me sentais partir… Mais j’en voulais plus, tout de suite. La main sur le crâne de Solenia je le poussais vers le bas pour l’inviter à user de sa langue sur ma chatte humide…Elle reçut l’incitation avec plaisir, à genoux devant moi, je regardais son visage, ses yeux me fixant d’un air de défi, sa bouche légèrement ouverte, laissant passer une respiration profonde, saccadée par l’excitation. Nous nous fixâmes un instant qui sembla durer des heures, comme deux chats sauvages, attendant le moindre signe de faiblesse de l’autre pour lui sauter dessus… Mais mon indomptable féline se lança finalement sur mon intimité la bouche ouverte et me pénétra puissamment avec sa langue qui cherchait à s’introduire au plus profond de moi.- « OOOH ! Oh, Oh, Oh… »J’eus le souffle coupé sous un tel assaut… A ce rythme je sentais que j’allais rapidement venir.Paul, quand à lui concentrait toute sa dextérité à me masturber intensément le clitoris, tout en me maintenant fermement.Inconsciemment mon corps était comme convulsé, partant dans tous les sens, sous les décharges électriques que me procurent la langue de ma dame. Je sentais que mon bas ventre allait bientôt faire irruption…- « HA, HAA, HAA, HAA, HAA… »Mon cœur bondissait dans ma poitrine, mes poumons peinaient à se ventiler sous la pression de mes soubresauts de plaisir…Paul me chuchota sa bouche presque collée au lobe de mon oreille…- « On te veut, nous deux te voulons maintenant, tu es notre prisonnière, nous contrôlons tous tes sens… Tous tes plaisirs… Nous pourrions rester ainsi des heures à te faire frôler l’orgasme sans jamais te le faire atteindre complètement… À l’inverse nous pouvons te faire jaillir de suite si le cœur nous en dit… Tu es notre jouet, tu es à nous pour la nuit… L’acceptes-tu ? »- « Oui, oui, oui !!! Tout ce que vous voulez, je suis à vous….»- « Tu vas venir dans quelques secondes… »Sur ce, Paul émit un court sifflement aigu entre ses dents.À ce signal compris seulement par eux deux, la cadence de la langue de Solenia doubla, de même que les doigts de Paul doublèrent la rapidité.- « HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! »- « 3… 2 … »- « HAAAAAAAAA, HAAAAAA, HAAAA,HAAAA, HAA,HA ! »- « 1… »- « HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaa.Mon corps tout entier se cambra entièrement vers l’avant comme sous l’effet d’un défibrillateur géant.Mes poumons à l’arrêt, mes yeux virent trente-six chandelles et je retombais comme une poupée de chiffon dans les bras de Paul qui me maintenait délicatement…Sans que je ne les touches en m’abandonnant totalement à leur mains expertes il m’avaient faite venir.J’étais assez surprise de ce code qu’ils avaient employé. Comme un message en morse très discret afin que le troisième partenaire n’ai pas le temps de le comprendre, gardant ainsi la surprise de l’action.J’étais complètement apathique presque inconsciente.Solenia m’embrassa sur la joue, me prenant dans ses bras. Entourant ses bras dans le dos de son amant qui lui me maintenait debout à la force de ses bras.Je sentis alors des bras puissants me lever, et m’allonger sur eux. Paul me portait comme un chevalier porte une princesse… j’entendais les pas de Solenia nous suivant derrière.Je sentis la douceur des draps sous ma peau. Ils m’avaient posés sur un grand lit.Dans mon état second je les vis se déshabiller en s’embrassant. Mais Solenia tapa sur les doigts de son ami, lorsqu’il commença à porter ses mains à sa chemise. Elle le poussa avec un regard dominateur et séducteur sur le lit. Cela amusa beaucoup Paul qui s’installa près de moi en riant.Solenia avait une taille de guêpe dévoilant une jolie poitrine rebondie. Des cuisses joliment dessinée surmontée d’une délicieuse paire de fesses rondes…Elle était d’une beauté difficile à décrire. Son corps tout entier était très beau mais… pas comme on pourrait normalement en attendre d’un corps féminin. Il était sans défaut, parfaitement dessiné, mais n’était pas excitant au sens propre du terme.Il s’apparentait plus à une pierre précieuse, une fleur délicate, quelque chose de si pur qu’on aurait presque peur de toucher au risque de l’abîmer.Alors que Paul près de moi le dos contre le dossier du lit soutenant les oreillers, Solenia retira ses derniers sous-vêtements dans quelques pas de danse en prenant le temps de faire languir, de faire monter le désir, suggérant sans jamais montrer ce qu’il y avait en dessous.Elle monta alors doucement sur le lit, à quatre pattes avançant doucement vers son amant, le regard aguichant et la grâce d’une petite chatte maligne. Doucement elle s’approcha de son amant en l’embrassant doucement. Ils étaient si beaux… Sa dame descendit dans son cou. Puis sur sa chemise dont elle déboutonna le premier bouton avec agilité, embrassant la peau qui en dépassait,Elle continua ainsi son petit manège, embrassant chaque petite partie de peau déballée du tissu qui l’enfermait l’instant d’avant.C’était doux, sobre, presque majestueux. Enfin elle arrivait à son pantalon. Relevant les yeux elle le fixa de son intense regard tout en ouvrant doucement sa braguette.Un sexe serré dans un boxer sortit timidement retenu par ses entraves de laine. La dame un petit sourire au visage, le sortit, admira, sa belle taille et le pris en bouche sans plus de cérémonie.Solenia suçait profondément le sexe de son homme, celui-ci les yeux fermés profitait intensément de de la situation.Elle était totalement maîtresse de la situation. Les sens de son homme totalement exposés et sa sensibilité la plus profonde, entre les dents.Une telle situation m’inspirait aussi. Déjà remise de mes émotions ma main se glissa doucement dans mon entrejambe. Je regardais avec délectation ma belle dame. Elle dû le sentir car à présent son regard était planté sur moi. Cela me rendait folle de désir, je pouvais presque güvenilir bahis siteleri sentir les effets de succion ressentie par son homme sur son manche de chair. D’un geste de la main, elle m’invita à la rejoindre. Je la rejoins, sous le regard de Paul qui n’avait apparemment pas réalisé que j’étais réveillée.Elle me la tendis et je la mise à mon tour en bouche. Je sentis la salive de Solenia, et la petite substance poisseuse, preuve que l’homme se délectait de nous.Il devait être au paradis. Deux belles femmes se partageant la succion de son membre sensible.- « Veux tu essayer d’y aller tout au fond ? » me proposa SoleniaJ’acquiesçais, toute excitée. Elle prit ma tête entre ses mains, et la poussa doucement jusqu’au fond afin d’emboucher son homme jusqu’à la garde.Quand enfin l’extrémité toucha ma glotte, cela me fit tousser. Le bruit sembla davantage exciter son homme qui lâcha un puissant soupir. Je pu commencer quelques va-et-vient. Solenia me tenant la tête accompagnant mon geste. Paul à l’autre bout du lit, semblait apprécier. Au bout de quelques minutes celui-ci me repoussa gentiment et nous dit dans un sourire.- « Je vous veux mesdames. »Solenia me pris doucement le bras, m’incitant à me positionner au-dessus de la tête de son amant.Comprenant ce qu’elle cherchait à faire je m’y plaçai rapidement, Paul en dessous commença un intense cunnilingus, écartant ma fente avec ses mains me stimulant le clitoris avec son pouce.Sa langue passant intensément et lentement dans mon intimité m’offrant une légère décharge électrique.Me stabilisant avec mes bras, j’étais au septième ciel. Mais je faisais tous mes efforts pour rester concentrée, je voulais capter l’instant précis où ma merveilleuse dame s’introduirait. Les mains posées sur le torse de son homme, son regard de prédatrice intense plongé dans le mien comme se délectant du spectacle de me voir prendre plaisir avec la langue de son amour. Elle inséra profondément Aussitôt son expression changea comme un coup prit en plein cœur. Sa respiration s’accéléra, ses mouvements devinrent presque automatiques. Elle s’agita sur le pénis de son homme, profitant de chaque centimètre autant qu’elle le pouvait, elle chevauchait ainsi son beau destrier dans d’intenses soupirs, le visage étiré de sourires et d’expressions satisfaites.Elle se pencha vers moi, les mains toujours posées sur celui de son homme et m’embrassa intensément. Entre nos langues je pouvais capter les vibrations de ses gémissements.Soudainement elle lâcha mon visage et vint à ma poitrine me sucer les seins.Un long soupir sortit seul de ma gorge, je réalisais l’érotisme de la situation.J’avais entre mes jambes le visage d’un homme s’affairant à me lécher avec intensité pour me procurer tout le plaisir possible pendant que je me délectais de la vue de la plus belle créature au monde, dans son plus simple appareil prenant un immense plaisir.C’était très agréable… Mais ça allait trop vite.Je sentais que je risquais de repartir trop rapidement, et je tenais à profiter longtemps, intensément de cette situation.Me retirant, j’allai m’installer assise sur mes genoux près de ma dame je contemplais son corps se languir, basculer de haut en bas sous les coups de son amant.Son visage libre, Paul se concentrait sur sa dame. Je voyais le déhanchement de ses courbes, ses cheveux voler aux vents, son visage rouge de plaisir, sa bouche grande ouverte dans un cri inaudible.Sa poitrine volait dans tous les sens. Je voyais ces jolis points rouges pointus, sur ces magnifiques mamelles où commençant à perler de légère gouttes de sueur.Incapable de résister je m’y plongeai, suçotant avec ardeur cette jolie forme bien rebondie.- «HAAAaaaa »Ma dame semblait apprécier mes succions. Elle me saisit la tête me pressant contre sa poitrine, laissant reposer sa tête dans mes cheveux.- « Oui ! Oui ! Oui ! Allez-y ! Je viens, je viens, je viens, je vieeeeeeeeeens, HAAAAAAAaaaaa…. »Solenia avait jouis, ce qui avait provoqué une première éjaculation chez Paul…Celui-ci, fatigué de l’effort, avait besoin de quelques minutes pour se remettre.Il se glissa de côté après avoir embrassé sa dame. Sans un mot celle-ci, comme étant toujours dans le feu de l’action s’allongea dos tournée vers le rebord du lit, et m’invita à venir me placer tête-bêche sur elle.Emoustillée à l’idée d’un 69, je vins me poser sur elle. Elle attrapa fermement mes fesses, les tiras vers elle, afin de pouvoir profondément me pénétrer avec sa langue.« Hooooo, oui vas-y ma belle, oui, oui, oui… HOOOOOOOO putain ! »Sa langue musclée pénétrait ma chatte avec une vitesse, une puissance impressionnante… Mon dieu que c’était bon…Inconsciemment je me penchais à mon tour pour me régaler de sa jolie chatte. Mon massage lingual semblait faire effet au vu des légers bruits couverts par le bruit de mon intimité sur sa bouche.Elle dégagea cette dernière un instant laissant échapper sa jouissance.« Oui ma chérie… Ho que c’est bon… Oui, oui, oui, oui, oh viens, viens viens, vas-y … »Ses cris de jouissance m’excitaient… Bien que je ne sois pas sûre d’avoir compris la fin. Mais soudain je sentis quelque chose contre mon vagin. Ça ne ressemblait pas à une langue, c’était plus… lisse et légèrement humide. Hoooooooooooo oui…- « Tu as envie ma belle ? » demanda Paul.- « Oui… Vas-y… »C’est alors qu’il me pénétra sous le lubrifiant du préservatif. Ses mains puissantes saisirent mes fesses, pendant que Solenia était toujours en dessous en train de me lécher le clitoris…Cette fois ma poitrine s’emballa, les soubresauts reprirent de plus belle, pendant que je sentais sa longue tige, prendre possession de mon intimité. Je la sentais au plus profond de moi, longue, épaisse, venir me taquiner l’uterus… J’étais immobile, ses mains sur mes fesses semblaient servir davantage à le stabiliser, qu’à m’attirer à lui. J’étais en train de me faire prendre au sens propre du terme avec en dessous, ma déesse toujours en train de s’occuper de moi.J’imagine que la vue ne devait pas déplaire à Paul, cependant il ralentit pour éviter de partir trop vite aussi.Solenia en profita pour une ultime position. Elle s’allongea et m’ouvrit ses bras pour que je vienne me lover contre elle. Une fois installée, elle me plaça à l’envers, mon dos contre son ventre, couchée dans ses bras. Ses mains se baladèrent sur mon corps, tandis qu’elle me chuchotait de douces paroles à l’oreille.Paul se replaça devant nous claquant son pénis contre ma chatte, encore chaude. Il se réinséreradoucement, en maintenant son regard intense sur moi.Posée presque sur l’épaule de Solenia, je ne pouvais savoir qui de nous deux il fixait de ses yeux si bleus. Il s’évertuait à rester le plus silencieux, possible, se focalisant seulement sur mon plaisir, et celui de sa dame.En tout cas moi j’avais déjà atteint le septième ciel. Pénétrée ainsi alors que j’étais dans les bras de ma belle dame juste derrière moi qui cherchait à m’exciter par tous les centimètres de ma peau.A un point critique, je me rapprochais de l’orgasme constamment sans jamais l’atteindre, mes deux sadiques partenaires, cherchant à faire monter ma pression et mon désir comme une cocote minute.Le tableau était magnifique. En face en tant que partenaire à plaisir, Paul qui me regardait intensément, s’acharnait à me pénétrer le plus justement possible en fonction du rythme qu’ils s’étaient fixés avec sa dame. Je sentais chaque petit morceau de sa chair, me pénétrer profondément, dans un rythme tantôt endiablé, tantôt mesuré. J’étais en extase. Il semblait décider de son rythme en fonction de la fréquence des mes soupirs. Me menant toujours aux portes de l’orgasme…Derrière dans mon dos ma belle dame prenait soin de moi. Allongée sur elle, ses bras me parcouraient, me partageaient leur chaleur rassurante. Ses mains agaçaient doucement mes zones érogènes, je sentais surtout son regard sur moi, elle se délectait de chaque petit signe de plaisir que je dégageais. Chaque soupir, chaque plissement de mon front, chaque petite décharge électrique parcourant ma peau, elle en profitait comme moi, j’étais comme un cobaye de plaisir, un réceptacle à partir duquel elle profitait de tout mon être. Pour ma part je commençais à me sentir un peu douloureuse, je voulais venir. Heureusement Solenia derrière moi colla sa bouche à mon oreille, semblait avoir compris.- « Ma chérie, veux-tu jouir ? »Toujours, dans un état second je puis à peine hocher la tête.Solenia tourna la sienne, vers le corps de l’homme et émis un petit sifflement aigu mais plus long que celui de tout à l’heure.Au signal, Paul commença à me pilonner de plus belle, quasi sans retenue, le but était vraisemblablement de me faire jouir intensément…Ses mains se saisirent de mes hanches tandis qu’il attirait son corps à moi et rapprochais le sien par a coups… Haaaaaa mon dieu que c’était bon.J’étais à ce moment abrutie par le plaisir, je sentais iddaa siteleri les décharges électriques intenses, puissantes, régulières. Jusqu’à attendre le final.Bizarrement j’étais un peu triste, j’avais l’impression que de mon état second je ne pourrais prendre tout le plaisir possible de la situation. Mais c’était encore une fois sans compter sur Solenia.Ses mains avaient lâchés mes zones érogènes et à présent me caressait tendrement le visage, me câlinant comme pour me réveillerElle se tourna vers moi et je vis dans son sourire la scène semblable à mon petit fantasme d’hier matin…Ma dame me regardant, me protégeant, souriante… pendant que son partenaire s’acharne à me faire jouir. Elle chuchota doucement son visage face au mien comme pour profiter de ma réaction.- « Oui ma chérie c’est très bien… Nous te voulons lui et moi. Tu es la plus belle… Offres nous ton plaisir, abandonnes toi dans mes bras… Je veux te garder comme ça toujours, toute ma vie… sentir ta peau chaude sous les coups de notre partenaire, entendre tes gémissements… Viens ma chérie… Tu es si belle, si douce… Viens, jouis pour nous, oui, oui, oui, oui, encore, c’est bon… »Une immense décharge électrique me parcourra tout le corps, mon corps entier se cambra, les pulsations de mon cœur étaient incapables de suivre ce rythme de plaisir, mes poumons se vidèrent, je touchais le ciel, je m’ouvrais complètement,- « Haaa, ha, ha , ha ,ha,ha,ha ha,ha,haaaa… »Mes yeux s’écarquillèrent, mes membres étirés, irradiés par une onde de chaleur intense, le souffle coupé, j’étais au Nirvana, je touchais du doigt l’essence même de ce que l’on appelait plaisir. A l’intérieur de mon corps, une lave bouillonnante fut comme projetée par les secousses sismiques provoquées par Paul remontant à toute vitesse la cheminée de mon volcan, j’allais venir…- « HA,HA,HA,HA,HA HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »Ca y est… Toute tremblante, mes pulsations nerveuses en alerte, mon cœur tentait de reprendre le contrôle de ses battements… j’étais comme à moitié morte… J’avais l’impression qu’un orage entier m’était passé en travers du corps…Je sentis à peine les bras de Solenia qui me serrait contre elle. Paul qui avait terminé en même temps que moi s’était lui aussi rapproché nous entourait toutes les deux de ses bras puissants, Ces deux anges m’avaient emmenée jusqu’au ciel, montré l’éclat le plus puissant du soleil. A présent ils me serraient contre eux, comme on serre quelqu’un tombé dans une eau glaciale, pour lui éviter le choc thermique. Epuisée, je m’assoupis serrée entre ces deux merveilleux partenaires.Lorsque que j’émergeai, j’étais allongée, sur un canapé, avec des draps, une couverture épaisse, dans une pièce noire. Je ne reconnaissais rien. Où étaient mes affaires ? Je n’étais pas dans ma chambre ! … Ha oui…Me rallongeant, j’essayais de me rappeler de cette sensation. Évidemment sans succès. Je ressentais simplement une joie intense… Je ne ressentirais peut être plus jamais de semblables sensations. C’était comme si j’avais vu un phénix. On est sûr que c’est impossible, mais quand ça arrive, notre esprit devient comme prêt à tout accepter, ce qu’on ressent est incompréhensible, tout notre système de croyance s’écroule, et une fois que l’a****l est hors de vue, le doute s’installe, tout en tentant vainement de se rappeler les sensations éprouvées qui au contraire ne peuvent être que réelles. Cependant avec toutes ces dites sensations j’étais assoiffée.Me levant pour aller boire à la salle de bain, j’entendis du bruit vers la chambre de mes hôtes.Non… Encore ? Mais c’est impossible il faut faire une pause au bout d’un moment,ils n’ont pas pu remettre le couvert encore une fois ? Bien que je fusse le point névralgique d’une grande partie du plaisir, ils devaient eux aussi être épuisés au bout d’un moment. Atteignant la porte, trop curieuse je jetai un œil dans la pièce.Et ma belle dame m’offrait ma dernière sensation.Ils ne remettaient pas le couvert de quoi que ce soit. Ils ne semblaient même pas prendre de plaisir physiquement parlant.Ils faisaient tendrement l’amour, s’exaltaient mutuellement.A les voir l’un sur l’autre, la scène aurait tout simplement pu avoir l’air d’une partie de jambes en l’air, douce et sobre. Mais il n’y avait pas de mots pour décrire cela. C’était tout simplement merveilleux.Solenia étais allongée sur le dos. Son homme entre ses jambes la pénétrait doucement. Ces regards, la manière qu’il avait de tenir délicatement mais fermement ses jambes….Ils avaient chacun les yeux plongés dans ceux de l’autre, Solenia la bouche légèrement ouverte contemplait, comme dans un autre monde les yeux de cet homme qu’elle aimait. Lui, lui rendait son regard.L’un dans l’autre, simplement, sobrement comme s’ils ne réalisaient pas ce qu’ils faisaient…Délicatement, ils changèrent de position, lui se retira doucement restant à proximité comme s’il ne voulait prendre le risque de trop s’éloigner d’elle.Ils semblaient partir pour une levrette. Mais juste après s’être introduit, il attrapa doucement sa dame par les hanches, et la fit remonter contre lui. Son dos contre son torse, il la pris dans ses bras, la protégeant comme le plus précieux de ses trésors. Les bras entourant son corps, Solenia posa ses mains sur les siennes. Ils ne se touchaient pas pour ressentir une quelconque forme de plaisir, au toucher du corps de l’autre. C’était l’inverse.En cet instant précis, ils n’étaient plus qu’une même entité dont chacune des deux moitiés s’affairait, à satisfaire l’autre, rien d’autre ne comptait. Solenia ferma doucement les yeux, sa tête se juchant délicatement dans le cou de son amant.Lui toujours dans son rythme lui faisait doucement l’amour. Tels deux musiciens jouant en rythme, leurs cœurs semblaient battre ensembles. Leur petit code sonore semblait complètement caduque iciIls avaient une telle connaissance du corps de l’autre… Il semblait tout savoir sur ses points sensibles, et elle sur les siens. Ils étaient dans un autre monde, avaient comme capturé le phénix et le regardaient longuement, en détail, comme pour être sûr que celui-ci soit réel.Sans avoir besoin de personne, de positions spécifiques, ni même de rythme de pénétration effréné.Le plaisir qu’ils sentaient retirer de cette expérience, étaient simplement la présence de l’un dans le corps de l’autre. Comme si la jouissance était perpétuelle, infinie… Je n’avais jamais rien vu d’aussi beau…C’était très certainement le dernier niveau atteignable en terme de plaisir, si tant est qu’on puisse le hiérarchiser ainsi.Ils avaient dépassés le simple plaisir charnel. Plus fort de sensations physiques que n’importe quel amant ou amante ne pourrait jamais atteindre, plus beau et parlant que n’importe quelle œuvre érotique. J’avais devant moi des âmes sœurs. Ce qu’ils avaient là était certainement ce qui avait amené les poètes, écrivains à travers le temps à glorifier l’acte sexuel comme une expérience absolue, à coup d’hyperboles, et de qualificatifs divins. C’était la définition même de faire l’amour.Alors que j’avais compris que j’étais jalouse de Paul, car j’étais un peu tombée amoureuse de Solenia, par tout ce qu’elle m’avait offert, fait ressentir et sur sa façon de prendre soin de moi, tout ce ressenti à son égard disparu sur l’instant.Bien que je ne puisse jamais oublier toutes ces sensations qu’elle m’avait fait découvrir pour la première fois, elle et moi avions comme passé un cap.Elle ne pourrait m’en offrir plus qu’elle n’en avait déjà fait. Ce qui se déroulait sous mes yeux ne pouvait être accompli qu’entre âmes sœurs.Dans le lit elle était à présent juchée sur son homme leurs regards perpétuellement plongés l’un dans l’autre. Elle tenait sa tête entre ses bras, Elle était son trésor, Il était son amour…Solenia, Solenia…De temps en temps elle s’offrait à d’autres, partageait quelques caresses. Mais jamais elle ne pourrait trouver de sensation comparable à ce qu’elle vivait actuellement.J’étais invitée. Ils m’avaient invitée à partager pendant quelques heures, cette étreinte ultime, ce bonheur absolu. Ce fut fort, intense, merveilleux.Mais malgré tout cela, je voyais à présent qu’il me manquerait toujours quelque chose. Peu importe qui je prendrais dans mes bras, avec qui mes soupirs résonneraient, avec qui mes jouissances seraient partagées. Il me fallait trouver ma propre moitié.Trouver cette personne, avec qui un aussi merveilleux spectacle serait répété. Mais dans lequel je serais l’actrice principale aux côtés de celui ou celle que j’aimerais.Alors sur la pointe des pieds, j’allais me rhabiller et m’éclipsa dans la nuit, pour les laisser tous deux.La fraîcheur du vent sur ma peau humide et chaude de cette folle nuit, me fit du bien. Je pris la route du retour, comblée et heureuse. Je songeais à Solenia, comme pour la dernière fois lui envoyant un message télépathique.- « Solenia ma dame, ma belle, je ne pourrais jamais assez t’exprimer ma gratitude pour tout ce que j’ai vécu à tes côtés. A présent je dois trouver mon partenaire à moi, mon âme sœur comme tu as trouvé le tien.Quand à toi, mon amour, sois patient et tient toi prêt. Un jour je te trouverais ».FIN
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